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'1

t4.

H

1

s

T

e r

Jt

lurion , faifoit oublier généreufemént

(et

propres maux. Comme il n'y avoit aucuné

apparence que_ je puiife la· revotr de tout

le

jotff.,.

le

_général m'a propof¿ d"aller paifei;–

<leux

heures au

Cafino

,

lien

d'

aifembfée,

ou

vous favez.

qu'

on uouve le foit

tout ce

qu'il y a de per[;nnes

& ·

diíl:iiaél:ion

a

Bou–

logne.. Mais j,e

m:re

fuis ex{;ufé.

L'iFJquié~

tude, dont

i'

étois remplie pour un frere &

une fa:ur que. leurs diig1;aces tne rend'ent

ft

chers, m'a fait pcendi;e

le

partí de me

i;etirer

~

man

logement.

o«n=..,,,,.,_,.,...--~~~~==--

LETTRE LXXII.

Le

cñe.valier

GRAND I

s-s

oN

,.

au doéleu'.

:B.t11.RLBT..,,

0

Mardi au foir.

J'

Av

o

1

s

pa:lfe

une fon mauvaifo FJuit,

&

je me trouvois

íi

indifpofé ce matfo,

que j.e·

m'étoÍS borné

a

faire demahd'er des

ROU,.

veHes d'u

freH~

&

de la fceur, d'ans le'deífein

de prendre un peu de repos j_ufqú'apre..·

mid1. Mais. la inarquife· s'df fervi de moñ

mellager méJne·

pour

me faire dire

qu'elle.

fouhairoit de me voir for le cnamp. Je

n'ai.

pas

balancé

a

lui

obéfr.

Clémenrii1e avoit

demandé:s'il éroit vrai qu'elie m'.eur vue,

.&

m

ce n'étoit

pas un fonge. On

a:voit

pris cett@.