DÚ CH!!:·V.
G:n.ANDISSON..
g'•
fu!ur
eíl: dans un nouvel acces :
&
fe
tour–
nant vers moi ; ah
!
Monfieur , vous etes....
mais de quoi vous accufer? Je ne vais gue
trop ce que voüs avez vous-meme
a
fouftí:ü••.
Le général eíl: entré en merne remps avec
le prélat.
A
préfent, mon frere, a: dit le der–
nier,
fi
ce
n'eíl: !)as
de la généroíité, c'e!l:
de
la
juíl:ice que fe vous demande. Le
che~
valier conviendra , j"en .fuis sur
>
qu'il
y
a
quelqu'exces de vivacité
a
lui reproclíer.·
Oui,
Moníieur, ai-je répondu; mais
il
n'eíl:
pas.
moins vrai que les propos du général
éto1ent hors de faifon. Peut-etre, a dit aífez
doucement le gén·éral. Je me fuis tourné:
vers lui : un ave.u juíl:e, 1v1oníienr, eíl: un
glorieux- triomphe.
Je
me donne h.-irdiment
pour un homme incapable de baLfeLfe, qt1Í
ne mollira point f
mr,
l'honneur, mais
qui
prend droir du témoignage de fon propre
creur, pour fouhaiter d'erre regat"dé dans
cett~
famille comme
l:lll'
ami déíinréreLfé. Par–
don, Me!Tieurs, íi ie mets quelqµ'air
d~·
hauteur
~fans
mon langage. Ne l'attribuez
qu'a l'éloignewnenr que
j"ai
p0ur tome forre
de rémérité dans
m~s
aél:ions ; .m·ais je me
fens le camr pénétré de mille chafes qui
n'onr
pas roujou:rs
fair, je
le dis avec cho.–
grin) la meme imprellion fur le veme.
.
Quoi
!
GraBdiffon, m'a dit aífez fiére-·
mer:.n le général, vous allez jufq.u'aux repro-
ches?
·
ll
n'en eff pas pefoin, a'i-fe répliqué,
fi.
VQUS
en fentez la jµíl:ice. Mais ,.en vériré., ou
.
:o
Jo