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H
1
s
T
o r
1'.
z
attention par
d'
autres voies
? ·
Au reíle, a
dit le prélat ,nous fommes fes plus proches
p.arents. Et nous fommes bien aifes, a dit le
général, .de faire nos obferva.ti.ons. Elle eft
prévenue ,
a
repr~
la
mar9uif~
,
.f
~r tou~e~
les perfo.nnes qu elle doit v01r 1c1 ;
&
¡':u
dopné -0rdre qu'elle .ne foit
a.ccompagné~
que de Laure
&
de Camille.
La chere Clémentine eíl: entrée
.au
meme
iníl:ant , appuyée for le bras de Camille,
&
foivie de Laure. Sa marche éroit lente
&
maj.eftueu[e ,
[es
yeux baiifés. Elle étoir en
robe noire
&
.rraína111re.
Un
voile de
gaze
blanche co.uvroit
fun
vifage. Quelle vive
irnage de
l'
afiliétion
!
Je n'ai
pu
me défendre d'une eJCtreme
é.motion. Je me fuis levé; je me Cuis remis
fur
rna chaife,
&
je me
Cuis
levé encare
une
fois,
irréfulu ,
n.e
facj:iant q,µe faire
ni
,que dir.e.
Elle s'eíl: arretée au milieu du cabiner,
EHe s'.eíl: tournée vers Camille, pour lui
faire ajuíl:er
fon
voile,
rq:lis
fans prononcer
~n
mot , fanslev,er les y.eux devant
elle,
&
fans
obferv.erp.erfonne. J'allois m'avancer
vers
elle; le g énéral m'aretenu par la main.
Demeurez
}
derneur.ez, cher Grandilfon ,
,m'a-t-il die:
Cependant vorre Lenfibiliré
,me charme, Elle vjenr) elle .marche vers
JJ,<)US
!
Elle s'eíl: :lppi:c chée, les yeux
a
denú~
fe1més,
&
to¡:;j urs baiífés vers
la
rerre.
Sur
llJ.l
qi.ouvem.ent qµ'elle
a
fair
pour ·tourner