DU CHEV. GRANDISSON.
7f
les
deux frere& m'ont quitté avec d'au–
ttes marques d'runitié ;
&
pour dernier com–
pliment, l'éveque m'.a dit qu'il fe félicitoit
d'avoírdéformais trois freres. Je medifpofe
a
les fuivre au palais della Porretta. Imaginez-.
vous, cher dolteur, avec quelle agitation.
..
.
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LETTRE
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doéleu11
J!.íl.
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A Boulogne , lllndi au íoir ,
::i.6
Mai.
JE
fuis revenu.
.r
arríve. Vous attendez ele
moi
,
cher doél:eur
,
un détail intérelfanr.
Je n'étois parti qu'aprt.s d'mer, mais de
fon bonne heure, dans la vue de pouvoir
pafferquelguetempsavecmon cherJeronimo.
Il lui reíl:e de vives douleurs de
fa
derniere
opération. Cependant M. Lowther eíl: tran–
qui1le,
&
n'en .a pas m.oins d'efpérance.
Lorfque je fuis demeuré feul avecce fidele
ami, il m'a dir qu'on ne lui avoit pas encore
fait voir
fa
fceur; gu'il en concluoit qu'elle
devoit erre
fort
mal-; ·m-ais gu'il favoit néan.–
moins qu'on la di(pofoit
a
rec
evoirma vifite.
O cher Grandilfon
!
s'eíl:-il
écr.iédans un
tranfpon de tendreffe, que je
plainsun creur
anill feníible ) au!Ti
gén~reux
que le veme!
Mais qu'avez-vous fait au général?
Jl
m'aífure
Tome
VI.
D