Previous Page  274 / 442 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 274 / 442 Next Page
Page Background

6S

H

I

s

T

o

I

n.

E

M. Lowther. Les chirurgiens Anglois

font-:

ils

íi

fameux

?

Mais comme les ·guerriers de

vocre nation favent faire des bleffures, íls ne

doivent p<J.s manquer d'arriíl:es pour les

gué–

rir. Nous vous fommes obligés auffi d'avoir

entrepris vous-meme le voyage. Jeronimo

en eíl: déja mieux. Puiffe le ciel achever

fa

guérifon

!

Mais , hélas

!

norre malheureufe

fa:ur

!

La pauvre t.Jé1nentine

!

je n'

en

efpere

plus rien.

Que je regrette, a die le prélac , qu'on ne

l'ait pas laiílee

a

la garde de Mad. Bemont.

Le général,

l'

ayant enlevée lui-meme de

Florence, n'étoit pas difpofé

a

témoignerle

meme regret.

Il

y avoit des tempéraments'

a-t-il incerrompu , auxquels on auroit peut–

ccre J,Uieux fait

de

s'arreter. Mais Daurana

eíl:

W1e fille infernale ;

&

Mad. Sforce doit

étre décefi:ée, ponr avoir favorifé fes

cruelles

vues.

11

a parlé de mon recour , dans des termes

affez

froids. Cependant, a-t-il dit, puifque

j'

étois

a

Boulogne,

&

que

fa

fa:ur avoit

paru

fouhaiter de me voir, on pouvoit permetcre

une entrevue , pour fatisfaire ceux de

la

fu–

mille qui m'avoientinvité

a

repaffer enlralie;

en quoi il admiroir d'autant plus

ma

com–

plaifance, qu'

011

n'ignoroit point que j'avois

en Angleterre la íignora Olivia ; mais que

d'aifü:urs

il

efpéroit peu.•.•••

Il

s'efr

arreté~

Je n ai pu retenir un regard

d'indignation, melé de mépris:

&

fans

autre

réponfe,,

je

me-

fuis

tou~né

vets

l'éveque,