bu CaEV.
G1'.ANJ>IS'SoN~
·Óf
charmé d'enrendre de vous-ineme ce qui;
s'eft paKé enrre vous, Clémentine
&
la
fa–
mille, avant vorre.départ d'.Italie. . Ils m'
ont
déja
fair
leur relation.
Je lui
ai
fait
fa
mienne avec une fidélité
dont iL a paru
fort
fatisfait•.
C'
eíl
exaél:e-'–
me1:1t, m'a-t-il dit, ce
qu
1
on m'avoir, déja
mconré.
Si
vous étiez·d'une meme religion,
Clémenrine
&
vous , il n'y auroit rien
a
prétendre _pour un autre homme.. J'adore
fa ·
pi6té
~:
fo.O' atta-chemem
a·
l'églife ; mais
je n'ai pas le·creur aífez étroít, pour·ne pas
rendre la meme juíl:ice
a
vos fentimenm
Comme
fa
maladie eíl: accidemelle, je ne
penferois jamais
a
d-'autres femmes ,
íi
je
pouvois me flatter·qu'elle ne fe crut pas mal.:.
heureufe avec moi. Parlez naturellement,
je. fais qu'on a ·déíiré votre retour; eres-vous
venu dans
fa
réfolution. de l'époufer,
fi,
fa
fanré
fe
rérablir.
Je lui ai fait la méme
rép~nfe
qu'a
la·
marquife.
Il
a paru auffi content de moi que
je
le fuis de
lui.
Le
meme jour il
eft
retourné
a
Parme•.
Vcndr~di', ~3·
de M4i¡
Le prélát eíl: de retour. Clémemine avoit
été forr mal. La Revre éroit fúrvenue. Cam–
bien
n~a+ellé
pas elfuyé d'agitations? L'éve–
que m'alfure que le géhéral
&
fa
femme
.fe
reconnoiffent obligés aux foiñs ·que
j'
ai pris
pour le forvice de Jéronimo. La fievre ayant·
quirré
Cléme.ntine, elle féra
ici.
dáns
un:
jj:>ur ob
de.ux•.