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rt.

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t€ur, il eft Ünpoíiible que vous ne

re

foye'z

pas. Qui m'erripeche done de croire

qúe

je parrage le bonheur de tous mes amis,

comme je voMs aíful'e , mol'l cher doél:eur,

que je fuís le plus fid€le

&

le ptus dévoaé

des votres?.

GRAN DIS SON.

LE T T RE

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A.

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s·o

N,

au

doé!eur

BAR

LB

T.

1'undi·,, 26' Mar.

J.l

1 E R áU

fofr,

Clémentine, le généraf,

fa

femme, le comte della Porretta

&

le fei·

gneur Sébaíl:ien

fon fils ,

arriverenc

a

Bmr·

logne.

Il

n'y avoit pas une heure que j'avois

quitté Jeronimo.

L'

opération s'étoit faitt

avec fucces ; mais dans fon extreme foi–

l:>leífe,

il·

s'éroit évanoui plufieurs fois pen'"

dant le jour. Cependant je l"avois laiífé

a/fez

tranquille ,

&

meme agréablernenc occupé

cdu retour de

fa

freur. Le prélat me

fíe

dire

avant la nuir que Cfémentine écoit arrivée ;

qu'elle étoit fariguée' aoattue,

&

danS'

(es

inéditarion:s ordinaires ; mais que Camille

viendroit m'apprendre le lendemain quelle

feroit la·fituation de

(a

mahreífe.

Pendant

to.ute la-auit

je

n'

a·i pas- formé le;,