DU
CH1.V. GRAND"ISSON.
,1
bires
a
mon Emilie qu'elle n'eíl: jamais
hors de ma mémoire ,
&
que panni les
excellents exemples qu'elle adevantles yeux,
ceux de mifs Byron ne doivent j_amais fortir _
de la fienne.
Milord L ..
&
milord G.••. font en pleine
polfetlion de ma tendreífe fraternelle. Je
n'écris point aujourd'hui a mon cher Belcher;
vous écrire
>
e'eíl: écrire a lui.
Vous connoiífez le fond de mon creur.
Si dans cette lettre , ou dans les fuiva1;tes,
il
échappoit
a
ma plume quelque chofe dont
la communication vous parut demander des
ménagemenrs, je compte fur votre difcré–
tion avec plus de confiance qu'a la mienne.
J'attends de mes amis un grand nombre
de lettres par le premier ordinaire. Ma patrie,
que j'ai toujours aimée, n'a jamais été
ft.
,chere qu'aujourd'hui
a
votre
>
&c.
GRANDISSON.