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J'

M

r ·s

T

e r

Jt

¡¡

obligé

a

votre honré, fans vous propofer

d'autre condition.

Elle a répété qu'elle ne m'avoit fait cette–

queftion que pour fe fatisfai{e elle-meme. Je

parle íincérement, a-t-elle aJouté,

&

jamais

vous ne me trouverez coupable de manvaife

foi.

Je

l'ai

alfurée que toute mon ambition

étoit de répondre

a

l'opinion qu'elle avoit

ele moi. Je me crois lié, luí ai-je dit. Vous,

Madame ,

&

les votres , vous eres libres.

Quelle fatisfaél:ion, cher doél:eur, pour

un·

cceur auffi fier que vous connoi1fez le mien,

de m'erre trouvé en état de lui renir celan–

~age

!

Si,

m'abandonnant

a

mes inclinations,

1'avois taché de plaire

a

la jeune perfonne

dont vous connoi1fez les charmes , comme

je le pouvois avec honneur,

&

comme }e

r

aurois fait fans doute ,

íi

j'

avois été moins

· touché des malheurs de cette noble famille ,

je me ferois engagé dans des diflicultés qui

augmenteroientbeaucoup mes peines.Appre·

11ez-moi, cher ami, que mifs Byron efl: heu–

reufe. Quelle que foit ma deíl:inée , je me

réjouis de n'avoir enrra1né perfonne dans

mes incertitudes. La comtelfe de D.... eft

u11'e

femme refpeél:able. Mifs Byron mérite

une t<tlle mere,

&

la comteffe ne trouvera

j.ama

is une fille plus digne d'elle. Que le bon–

he.ur

de cette chere mifs

efi:

important pour

le m

íen

!

Je lui ai demandé fon amitié. Je

me fuis bien gardé de fouhaiter une corref–

pondance avec elle,

&

je m'applaudis de ne