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54

H

1

s

T

e r

JI..

E

modérer,

fi

quelqu'exces de feníibifüé pour

l'honneur de la fam.ille, emporroit fon

ffü

au

del~

des bornes. Dans ce

t entretien

, je

n'ai pas été peu furpris de lui

enteml.re

dire

qu'ellecommens:oit a-craindre

que €ettech

ere

fille, dont elle avoit eu long-temps une

fi

haute opioion ,. ne far pas digne ele moi,

da1'}S

la fuppofoion méme qu'elle eut le bon–

heur de

fe

rétablir. Un compli.ment decette

nature n'a pu manquer de ine caufer beau–

coap d'emL->arras Que pouvois-je répondre

qui ne parui;ou trop froid, eu peut-erre

ilr

téi:e!fé

,_&

capable de faire juger que je <:omp–

tois trop fm une récompenfe que le

général

croit er-1core au deífus de moi

~Je

me coll"

tentai- de dire,

&

c'étoit avec vérité, que

l'inforrune del'a-imableClé1nentine melaren–

doit plus chere que tour

f

échit de

fa

for–

tune. Il n'y

'l.

point d'ouverture , répliqua

la

marquiJe' que je ne fois portée

a

vous

fuire. Tour-es mes réfolurions font·en

fu(,...

pens. Nous ne fa.vons

a

quel partí nous

are~

cher..

V

orre voyage entrepris au premier

figne ; la poífefiion ou vous etes d:un bien

<;:onfidérablet dans le pays de vorre naiffal'!.ce;

car vous devez bien juger que nous

n'avo~

pas négligé les infonnation.s ft:tr tourcequ1

vous regarde; Olivia, qui, fans erre une

Clémenrine, a des prfaentions fur vous,

&

qui a quitté l'Ira!.ie , comme nous le favons,

&

comme vous l'avouez vous-meme, pour·

ks

fa.ire

v~o,ii::

en Ao&_krei:re.; q_uelles.obli:-