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H
1
s
T
e r
JI..
E
modérer,
fi
quelqu'exces de feníibifüé pour
l'honneur de la fam.ille, emporroit fon
ffü
au
del~
des bornes. Dans ce
t entretien, je
n'ai pas été peu furpris de lui
enteml.redire
qu'ellecommens:oit a-craindre
que €ettechere
fille, dont elle avoit eu long-temps une
fi
haute opioion ,. ne far pas digne ele moi,
da1'}S
la fuppofoion méme qu'elle eut le bon–
heur de
fe
rétablir. Un compli.ment decette
nature n'a pu manquer de ine caufer beau–
coap d'emL->arras Que pouvois-je répondre
qui ne parui;ou trop froid, eu peut-erre
ilr
téi:e!fé
,_&
capable de faire juger que je <:omp–
tois trop fm une récompenfe que le
général
croit er-1core au deífus de moi
~Je
me coll"
tentai- de dire,
&
c'étoit avec vérité, que
l'inforrune del'a-imableClé1nentine melaren–
doit plus chere que tour
f
échit de
fa
for–
tune. Il n'y
'l.
point d'ouverture , répliqua
la
marquiJe' que je ne fois portée
a
vous
fuire. Tour-es mes réfolurions font·en
fu(,...
pens. Nous ne fa.vons
a
quel partí nous
are~
cher..
V
orre voyage entrepris au premier
figne ; la poífefiion ou vous etes d:un bien
<;:onfidérablet dans le pays de vorre naiffal'!.ce;
car vous devez bien juger que nous
n'avo~
pas négligé les infonnation.s ft:tr tourcequ1
vous regarde; Olivia, qui, fans erre une
Clémenrine, a des prfaentions fur vous,
&
qui a quitté l'Ira!.ie , comme nous le favons,
&
comme vous l'avouez vous-meme, pour·
ks
fa.ire
v~o,ii::
en Ao&_krei:re.; q_uelles.obli:-