nu
C1nv.
G.RANnrsso_N:
j'I·
·
L~
}Jrélat
&
le pere Marefcotri , regret–
tentégalement que
r
entrevue qu'elle déwroit
lui ait été refufée.
Ils
font perfuadés, taus
deux • que oette complaifance ,
&
ceHe de
l'
abandonner
aux
foins mate1uelsde madame
Bemon't , étoit la {eule voie dont on put
e[pérer quelque Cueces. Mais·a préfent, dit
l'éveque....Jl n'a point achev.é.
Un
foupir
a
déclaré
.le
reíl:e.
Le lendemain , je.dépechai un
de
mes gens
a Boulog.ne, pourme préparer un loge.ment,.
&
nous nous m!mesen;ohemin l'apres-rnidi.
Le .c01n:te de Belvedere .rrouva
l'
0ccalion de
m'apprendre que
fa
pa!Iion n'eíl:pas ra:lentie
pourClérnentine,
&
que, malgréfa maladie,
i¡l
~
fait de nouvelles ouvertures de mariage
-:i
la fumille. Comme
il
n:eíl: pas quefüon d'un
mal hérédiraire, il
fe
promet tout de la pa-
tience _& des remedes. En no tis quittant
,·
apres nous avoir
,acconi~agnés
pendant une
p?..rtie du chemin: fouvenez-vous,Chevalier,
me dit-il, que Cl.émentine eíl: le centre de mes
efpérances. Il m'eíl: impoilible d'y renoncer.
Je n'aurai point d'autre femme.
Le
filence
far ma
f
eule réponfe.
J'
<l;dm.ira~
la
force de
km
a~tachement,
&
je le pla1g111s beaucoup.
Ilmepromit d'a
u
tres explications
a
Boulogne~
Nous
y
arrivames le • }·
J'y
repris mon
<UJcien logement. Pendant la route , J.ero–
n.imo avoit éré le principal fujet de notre
emretien. L'évéque
&
le pere n'eurent pas
b.efoin d'enrendre long-temps M. Lowther
pom prendre w1e haute opiniol'l de fon habi-
C
i.