Í>U GHEV. GltAND"lssoN.
n
gations ne vous avons-1qous pas
?
A quoi
nous réfoudre? Que devorrs-nons fouhaite1<:?
La Providence
&
vous , Madame , vous
réglerez mes- pas. Je fuis en votre pouvoir.
La mérne incenitude ) qur vrent de la !'Heme
ji;aufo, i;ie me laiífe pas plus qu'a vous
1-a
liberté de me déterminer.
C'eíl:
au rétabliG–
fement de notre chere Clémentine que toute
mes idées
&
taus mes défüs fe rapportent:
a
préfeut ) fans la mo'indre vne
d'int~ret
..
Permettez que je vous
faife
une queftion",
a-t-elle _repris; c'eft pour ma
farisfaéb011
particulieFe.Si1'
évérrement devenoit heureux
pour Clémenti.ti.e, vous croiriez-vous engagé
par vos premieres offres
?
Lorfque je les fis, Madame, la fituation,
de votre coté,étoitlaméfne qu'aujxmrd!hui:
Clémentine ne jouiffoit pas d'une- meilleure
fanté. La feule diflérence, c'eít que 1ña· for–
t1u1e a changé,
&
qu'elle répond
a
mes dé-–
frrs. Mais te vous déclarai alors , que íi vous
)ne faiíiez l'honneur de me donner votre
tille, fans iníifter fur un,article indifpenfable,
j.e renoncerois-volontiers a-toute autre bien
qu'elle,
&
je me repo(erois de mon établif–
femenr-far la bon-té de mon pere. L'héritage
demes ancétresferoi-t-il capable cfaltérer mes
réfolutions·? Non,.Madame•. Jama-is je n'ai
fait d:offre a laquelle j'aie manqué·, lorfqu'il
n'eíl: point arrivé de changement dans leo
f.:Írconíl:ances. Si vous vous relachez fur l'ar–
Q<;le dela réíidence. je me reconnoitrai fort
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