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HISTOIR.E
~,
truments de muíique , dans les inains de
.. _<:;elui
meme
qu'il haºiffoit.
»
Je fouhai rerois que vous priffiez
la
peine
»
de venir. Ce feroit un acheminement
a
la
,, Cornplaifance; car, pervers comrne
il
e~,
,, e;'
eut été trap auffi que de l'accompagner
chez vous,
u
voudroit poner fa caufe
a
10
votre tribunal; mais je lui ai prefque
oté
,, C5!
deílein par mes i:ailleries. J'ai yris le
»
parri de vous écrire. Quelle réponfe
ai-je
;;,
rec;ue? Crµelle
Benri~tte
!
refufer votre
,, m édiation dans undj.fférend entre l'homme
&
la
femm~
!
Mais
je
laiíferai brU1er le
feu.
y,
Si la maifon
[~
fauve ,
&
qu'elle en foit
»
quitte pour un peu de
flamme dans
la
:io
cheminée, je faurai m'.en confoler.
»
Adieu, méchañte fille. Si vous ne con·
»
noiífez point d.e femme qui
fe
nommc
»
Grandiífon , fa{fe le ciel qu'avee les
f
upp<>–
li)
füions
qu~
r
e¡:i.tend~ po~r
la perfonne
J
je
11'>
ne conno1íle p1us b1entot de Byron
¡
Ne
fuis-je pas terrible dans mes
vengean~es11
1
Voyez , Lucie , avec quelle adreífe cette
chere capricieufe s'y prend , pour rpe merrre
dans fes intérers. Mais je vous aífure queje
ne J:Uy
lai{ferc\i pas gagner par
f
el!
flatt~ries.