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CH.!V.
Cll.ANDISSON.
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., éroit pani. Emilie reíl:oic feule :
&
e'eíl:
., ainfi
qu'on renvoya la pauvre miladi
L...•
t•
les !armesaux yeux peuc-ecre de la cyrannie
»
qu'elle avoit vu,exercer fur une fa:ur trop
., facile.
,, Milord
G...
n'áyant pas manqué de nie
), fuivre, jugez íi , lorfque nous nous v1mes
" feuls
&
maltres du champ de bacaille,
\) nousne demeurarñes pas comme deux fous
,, vis-a-vis l'un de l'autre. Je lui fis mes
,, plaintes avec toute la douceur que je pus
mettre dans mes expreffions. 11 vouloit
que toures les difcuílicns fulfent remifes
" a
quelqu'autre jour. Mais, non.Apres nous
avoir expofés tous deux par fes airs vio–
lents , devartt un íi grand nombre de cé–
moins, vous conviendrez, ma chere, vous
,, que jeconnois pour une fille délicace, que
fa
propoficion écoit irnpoílible. Ainíi la dé–
cence m'obligeoit de cenir bon. Depuis ce
momenc nocre méíincelligence éclace;
&
graces au ciel, elle eíl: au point que, Gnous
nous rencontrons par hafard, nous fuyons
,, volontairementchacunde notrecoté.Nous
" avons déjafaicdeux cables pour ledéjeuner.
Cependantje fuis
tr
aicable; maisil eíl:
arroganc.Jelui fais des
révérences.Ilaffed:e
»
de ne pas me les rend
re. C'eíl: joindre l'in–
n civilicé
a
l'arrogance. Je me mees
a
moa
clavecín. La m
élodiele fa
it enrager. Il ell:
»
pire que le roi
Sai.il; car
Sai.il, dans
fott
»
humeur fombr
e , prenoit
plaifo: aux inf-
.
Tome VI.
B