DU
Cwllv.
GRANlHSSoN.
rS.r
plies
!
Elle arrive; il part: il retourne for les
ailes de l'amour
&
de la compaliion, vers
un objet plus cher & plus digne de
fa
ten–
dreife, dans le pays qu'elle a quitté pour le
venir chercher dans le fien. Sa íituation n'eíl:–
elle pas beaucoup plus triíl:e que la mienne?
Elle l'eíl:
a
mes propres yeux. D'ou peuvent
done venir mes plaintes ?
Je m'écarte, chere·Lucie. Pardon,
{i
vous
vous en appercevez. La pene de mes efpé–
rances m'a mortifiée,
&
me rend d'affez bon
naturel l?ºur erre Cenfible aux peines d'autrui.
Mais
{i
l adverfité produit cet effet, elle m'en
fera plus facile
a
fopporter.
Le doéteur m'apprend qu'Emilie, le creur
faignant de fes propres maux ' doit etre ici
dans un moment. Si je puis fervir
a
fa
con–
fülation.... mais n'en ai-je pas beCoin moi–
meme? Nous melerons nos larmes en pleu–
rant l'une fur l'autte.
Milord W ... retournea Windford. M. Bel–
cher part dans peu de jours pour Hansphire,
d'ou il compre revenir inceffamment pour
offrir Ces fer vices aux dames Italiennes. Olivia
fait travailler
a
Ces équipages. Elle
fe
propoCe
de faire ici une brillante figure ; mais elle
n'aura point
fir
Charles avec elle. Q ue
fert
la
grandeur pour calmer un creur troublé ?_Le
comte de G....
&
miladi
fa
freur reprennent
le chernin d'Hertfordsire. Milord
&
miladi
L...
parlent de
fe
retjrer pour quelques
fe–
maines
a
Colnebroke. Le doéteur
fe
diCpofe
a
partir pour le chateau de Grand,iífon ,
&