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¡.
R.
lY
votre
pauvr~
Henriette pour Northamptons–
hire. Ciel
!
ma chere, quelle difeerfion
!
Mais
le mariage de milord W .... raITemblera une
partie de ce monde
a
Windford.
Emilie arrive. On me dit que cette chere
fille eíl: toute en pleurs. Elle eíl: chez madame
Reves , ou elle anend la permiffion de mon–
ter chez moi. Figurez-vous nous v0ir pleurer
enfemble,
&
prier pour la confervation de
notre túteur cornmun. Votre imagination ne
peut
[e
former une fcene trop cendre. Adieu,
chere Lucie.
L E T T R E
L X I I I.
Mifs B
Y R
o
N
,
d
la mime.
Dima.ocltc, 16 Avril.
Q
Quelle fcene, ma chere
!
mais il eft
inutile de vous la repréfenter. Pauvre Emilie!
Vous peindre fon affiiéhon , ce
f
eroit vous
retracer la mienne.
Milord W .... partit hier pour Windford.
Que direz-vous d'une conduite
fort
bizarre
d'Olivia
!
M. Belcher l'étant alié voir, pour
lui offiir de l'accompagner dans fes prome–
nades, foivantle défir de
fir
Charles, qui
1'
a
chargé de procurer ici
to
utes forres d'agré.–
ments aux deux dames , elle lui a répondu
devant
fa
tante, qu'elle lui rendoit_grnces de