l'JU CHEiJ/. G:R.ANDIS50N.
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a+il pas avoué, du ton le plus férieux, qu'il
y
a une e(pe'ce de néceffiré ?
Devinez , chere Lucie, la réponfe de mifs
Grandilfon. Teneq;, Henrietre, je n'aime
poinr cette Clémentine;
e'eíl:
d 'ellé que vient·
tour le mal.
A
l'iníl:ant meme , le bruit d'un earro.tfe
s'
eíl: fait enrendre
a
fa
porte ,
&
norre Emilie
efl: entrée eourant, pour nous apprendre que
e'étoit milord G... le eomte ion pere,
&
miladi G...
fa
ranre. Mifs Grandiífon achangé
de eouleur. Elle a prétendu que e'étoit un
tour de fon frere. Juíl:e eiel
!
a-e-elle dit; je
fera.i done affiigée de r.oures pa::ts? Mais je
fais le parti que j'ai
a
prendre. Je ferai la
forre pour ne rien faire de ,pis. C'efl: ce que
j'appréhende peu, lui a répondu
fa
fa:ur.
Cependant fouvenez-vous des iníl:ances de
1uon frere,
&
ménagez un peu milord G...•
devant fon pere
&
fa
t>ante,
li
vous ne vou–
lez pas nous ehagriner tous.Comunent faire,
a-t-elle répliqué. Notre dcrniere querelle
dure encore. Mais confeillez-lui done de ne
pas foire l'impertinent, ni l'homme trop fúr
de fos avanrages.
Sir Charles eíl: entré auffitt>t, donnant
1a.
m{lin
a
rniladi G... Aprl!s les premiers eom–
plimems: de grnee, mon frere, luí a dit
mifs
Gr:rndiffon ,en le tirant vers moi, ne faviez–
-vous rie-n _de oette viíire?
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eíl: convenu qu'.il
les avoit invirés
a
diner , rnais fans aucun
-Oeffein de la furprendre.Votreconfenrement,
-a-+il
a:}0ut~
, .me eaufera
la
plus vive
fatis-
H
.z.