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176

H

r s

T

o r

~

E--

milord W .... fon ancle, dans

fa

premiere

viíite auchareaudeMansfils.Vous, ma freur,

a-t-il dit

a

miladi

L....

vous vous chargerez'

s'1l vous pla!t, de faire remonrer les dia–

manrs de feue matante, dont inilord

W ....

veut faire préfent

a

fa

nouvelle époufe.

lis

font

íi

riches , qu'ils ne dema,ndent point

d'aurre changefnenr. Vous ferez tous char–

més, a-t-il ajouté, en s'adreífant

a

milord

L ..

&

a

(es

_deux freurs ' de votre feconde tante

&

de toure

fa

famille. J'envifage avec joie

Je bonheur qui attend le fi:ere de ina mere

dans fa vieilleife ;

&

je ne me réjouis pas

rnoins d'un évenement qui va délivrer de

l'oppreilion une ancienne

&

vertueufe

fa–

rnille.

Vous auriez vu, chere Lucie, le méme

air de fatisfaébon briller dans les yeux de

toute l'affemblée.Nous nous regardions avec

co•nplaifance ,,pour nous communiquer na–

rre íeníibilité muruelle. Je croyois voir au

milieu de nous un prince bienfaifant, qui

faifoir fon bonheur du plaiíir qu'ilnous cau–

foir.

Mais ou fera-t-il dans huir jours

?

Et

fi

cette réflexion

m'efl:

per!J.1ife,

a

qui

fera-

t-il dans un an

?

.

Il s'eíl:

fort

étendn fur fon ami Belcher,

qu'il efpere encore de voir en Angleterre ,

avant fon départ. Il s'efl: plaint de M. Everard

Grandiífon, qu'on n'a pas vu depuis

plufieur~

femaines,

&

qu'il croit livré pour quelques

rnois ' fuivant fon u fage,

a

quelque nouveJJ·e

galanterie. Dans.

l'

é..rendue de

[a

bonté, il