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o r
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milord W .... fon ancle, dans
fa
premiere
viíite auchareaudeMansfils.Vous, ma freur,
a-t-il dit
a
miladi
L....
vous vous chargerez'
s'1l vous pla!t, de faire remonrer les dia–
manrs de feue matante, dont inilord
W ....
veut faire préfent
a
fa
nouvelle époufe.
lis
font
íi
riches , qu'ils ne dema,ndent point
d'aurre changefnenr. Vous ferez tous char–
més, a-t-il ajouté, en s'adreífant
a
milord
L ..
&
a
(es
_deux freurs ' de votre feconde tante
&
de toure
fa
famille. J'envifage avec joie
Je bonheur qui attend le fi:ere de ina mere
dans fa vieilleife ;
&
je ne me réjouis pas
rnoins d'un évenement qui va délivrer de
l'oppreilion une ancienne
&
vertueufe
fa–
rnille.
Vous auriez vu, chere Lucie, le méme
air de fatisfaébon briller dans les yeux de
toute l'affemblée.Nous nous regardions avec
co•nplaifance ,,pour nous communiquer na–
rre íeníibilité muruelle. Je croyois voir au
milieu de nous un prince bienfaifant, qui
faifoir fon bonheur du plaiíir qu'ilnous cau–
foir.
Mais ou fera-t-il dans huir jours
?
Et
fi
cette réflexion
m'efl:
per!J.1ife,
a
qui
fera-
t-il dans un an
?
.
Il s'eíl:
fort
étendn fur fon ami Belcher,
qu'il efpere encore de voir en Angleterre ,
avant fon départ. Il s'efl: plaint de M. Everard
Grandiífon, qu'on n'a pas vu depuis
plufieur~
femaines,
&
qu'il croit livré pour quelques
rnois ' fuivant fon u fage,
a
quelque nouveJJ·e
galanterie. Dans.
l'
é..rendue de
[a
bonté, il