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G~AN ·D-Ú
s ON.
_179
t¡u'en demeurant tranquil/e en Angleterre,
elle
tJonn.1:ra /te_1¡,_d& pe!lfer qqe c'
eft
uniqu.ement fon.
goíit pour les voyages, qui lui ,a fait quitter
•
Ja patrie ,fans
~<Jmp[!;r
que_,
p.Fn'Íflfll l'abfence
de jir Charles, elle aura le
temps de fe faire
aim,er !]ans wze familJe.q¡le,lle a tqnt g'fotérft
·a
ménager. C'ejl mifs Byron qui fait ce
rlcit
dans p(u[ti:-urs grandes lettres
.a
mifs Se/by.
Elle éft peu alarmée des prltwtions d'Oliviq,
m11is
fes crainres font plus férieufes qve j.amais
du coté de Clémenrine,
f:Jchaque injlant qu_i
ttpproc-he le dlpart de
j.irCharles, augmente
fon inquiltude. Elle
obfen•e ront,
el/e
ren~
compre
a
fon amie de tour ce qu'elle voit
f:¡
ce
qu'elle entend. La l'érité
cjl,
qu'elle ne lai.ffe
pas d'etu.re1•oir combil!.n il
í1
de peine
a
la quitter.
:
ll
úLi
fait fes adieux d'un air tremblant.
11
lu.i
r.ecommanlfe Emilie.
JI
fe r.ecommande lui-
111.lme. Enfin le jour mime de fon dlpart, il fi:
dérof>e a-tous ceax qui efpéroient de ['embraffer,
ccmme s'il craignoit de s'attendri.r trap,
f:J
de
laijfer paroftre ce qui fe paf{e.dans fnn .caur.
On apprend qu'il eft parJi,
f:J
mifs Byron en
Jienn-e la prerniere· nouvelle
a
fa c9ufane•
• ·-._•• J :
H6