D U
C
H E V.
G
R A N D I S S O N•
I
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le croit fincere , cJ1aque fois q.u'il lui voir
romrre une mauvaife habitude. 11 efpere)
dit-i , que tot ou rard
il
reconnoirra parfai–
rement tomes fes erreurs.
Ah,
machere
!
quel
perfonnage eíl: celui d'un libertin, lorfqu'on
le compare au glorieux role qu'un homme
du caraél:ere de fir Charles fait dans la fociété
!
Miladi
G....
&
le vieux coime ne
fe
raffalÍent
pointde le regarder & de l'entendre. lis fem–
bloient
fiers de l'allíance qu'ils vont former
avec un homme auquel ils ne connoiífent
rien d'é
gal.Dans
vot.rederniere lettre, Lucie,
vou~
me mar
quez que M. Greville a la har<lieífe
de lai!fer échapper des menaces contre ce
modele des hommes. Plaifante efpece
!
Que
mon creur fe fouleve contre Greville
!
Mais
ne parlons plus de ces ames de boue.
(N.)
On n'a donné la lettreprécédente, que
pour foutenir le carac1ue de
Mífs
Grandijfon,
&
pour..lier le changement de fon ltat& defon
nom al'ec quantité d'incidents qui doit1ent le
fuivre : maiJ on
pa._ffe
Jur coures les lettres qüi
concernent le mariage des Danbys, de milord
W; ... de mifs Grandiffon méme
&
l'arrivée de
M. Belcher. Sir C!1arles ejl toujours bon, tou–
jours généreux, jujle, intrépide. Son carac1ere
ne varie point darzs les moindres circonjlances.
L'admirarion croic fans ceffe dans tous ceux
qui ont quelque chofe
a
déméler avec
lui;
&
celle de mi{s Byron devient
ji
l'ive
&
Ji
tendre,
IJU'on ne fCUt plus fe trompcr
a
fes
J
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éritab/~S
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