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D U

C

H E V.

G

R A N D I S S O N•

I

71

le croit fincere , cJ1aque fois q.u'il lui voir

romrre une mauvaife habitude. 11 efpere)

dit-i , que tot ou rard

il

reconnoirra parfai–

rement tomes fes erreurs.

Ah,

machere

!

quel

perfonnage eíl: celui d'un libertin, lorfqu'on

le compare au glorieux role qu'un homme

du caraél:ere de fir Charles fait dans la fociété

!

Miladi

G....

&

le vieux coime ne

fe

raffalÍent

pointde le regarder & de l'entendre. lis fem–

bloient

fiers de l'allíance qu'ils vont former

avec un homme auquel ils ne connoiífent

rien d'é

gal.

Dans

vot.re

derniere lettre, Lucie,

vou~

me mar

quez q

ue M. Greville a la har<lieífe

de lai!fer échapper des menaces contre ce

modele des hommes. Plaifante efpece

!

Que

mon creur fe fouleve contre Greville

!

Mais

ne parlons plus de ces ames de boue.

(N.)

On n'a donné la lettreprécédente, que

pour foutenir le carac1ue de

Mífs

Grandijfon,

&

pour..lier le changement de fon ltat& defon

nom al'ec quantité d'incidents qui doit1ent le

fuivre : maiJ on

pa._ffe

Jur coures les lettres qüi

concernent le mariage des Danbys, de milord

W; ... de mifs Grandiffon méme

&

l'arrivée de

M. Belcher. Sir C!1arles ejl toujours bon, tou–

jours généreux, jujle, intrépide. Son carac1ere

ne varie point darzs les moindres circonjlances.

L'admirarion croic fans ceffe dans tous ceux

qui ont quelque chofe

a

déméler avec

lui;

&

celle de mi{s Byron devient

ji

l'ive

&

Ji

tendre,

IJU'on ne fCUt plus fe trompcr

a

fes

J

1

éritab/~S

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s