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CH!!V.
G:rtANDISSON.
17~
·G...
&
le comre onr demandé une confé–
rence avec
fa
Charles & miladi L.... Elle
n'avoir pas duré long-remps , lorfque úr
Charles eíl: venu prendre mifs Grandi{fon
>
qu'il a conduire a l'
alf~mblée.
J'ai
remarqué
fouvenr de l'alrération fur le vifage de
nú-
lord G....
·
Sir Charles a quirré le confeil,
&
nous a
rejoinr. Nous érions debout. I1 s'eíl:. adreífé
a
moi: j'efpere, m'a+il dir, que Charlorre
fe
laiífera vaincre, mais je ne la prelferái plus.
11 fembloir pret
~
nous donner d'autres expli–
cations , lorfque miladi L....
l'
eíl: venue prier
d'aller avec moi au-devant de
fa
fceur, qui
· avoir quirré miladi G....
&
le comte ,
&
qui faifoir quelque difficulré de rentrer.Nous
nous fommes avancés vers elle jufqu'a l'an–
tichambre, ou nous
l'
avons rencontrée. Ah!
éhere Henrietre , s'efr-elle écriée; plaignez–
moi, ma chere. L'humiliation eíl: la fille de
l'
orgueil. Eníuite, fe tournant vers
fir
Char–
les : eh bien , Monúeur, lui a-r-elle dit , je
me reconnois vaincue par vos iníl:ances, puif–
que
VOUS
etes pret a
11.0US
qi,Jitter,
&
par
les imponunirés de miladi G... du comte
&
de ma fa:ur. Sans ordre dans mes idées,
fans prépararion dans les habits , je Cuis ré–
folue d'obliger le meilleur de tous les fi:eres.
Paires, Moníieur. Difpofoz de moi comme
vous l'enrendrez.
Ma f
ceur )
hOUS
a dit nliladi L...
c.011-
fent que le jour foit mercredi prochain. Sir ·
Charles a répété qúe s'il luí refroit quelque. ,
H
~