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avant fon dépait, n'e foutfroít pas d'objec.:.
tíons
badines. Vou's favt!z, Chadotre,
a~t-elle
conrinué,
qu'il ne peut avoir d'autre motif
qu·e vorre
intér.ét,
&:
vous m'avez dit que
vorr·e dett
ein eíl: d'époufer milord
G....
que
vous eftimez
fon
pere, fon onde
&
touté
fa
famille. Ils on't rous aulli la plus haute
efrime pour vous. Les arrides
font
di·eífés.
Man
frete vous le
cfü
hier au foir.
11 né
1-.:-13nque que vorre c-hoix pour
Je j::mr•..
Cnarlotte a répondu impatiemment: je lui
· oudrois voir
la
moirié dé cet emprelfement
polir
fe
mader lui-meme.
11 l'auroit, n'en dourez pas, a répliqué
mi1adi, s'il éroit auíli libre que vous.
Belle propoGticn
!
a repris
la
caprü:ieufu
perfonne. Me m·arler clan's huit jours avec un
homme que je n'ai ¡:as ceífé de quereller de–
puis quinze
!
L'orgueil
&
la pérulance doi–
vent finir par degrés, ma [oeur. Un mois
n'eíl: pas trap pour rendre un peu de dou–
,cenr
a
mes trairs)
&
pour l'accoutumer
a
fourire devant
moi.
Vorre frere, cbere Charlotte , ai-je pris
la
liberté deilui d.ire ;vous a fait entendre qu'il
aime \•otre vivaciré, mais qu'1l vousaimeroit
encore plus ,
G
vous confoltiez le temps
&
1'
occafion. Songez , ma keur , a dit
~uffiróc
milord
L ..
qu'íl eíl: forti dans la
téfoh1tidn
de ne vous pas preífer d:ivantage, fi vous le
refufez aujourd'hai.
Je hais cet air décifif, a-t-elle r'épondu.
Ivlais, Charlotte
~
ai:je re,p_ris
~
ne voµs