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qu'elle a rec;ue de mifs Charlotte ,
&
de
tout ce qu'elle vient d'apprendre du dlner,
&
de la conférence de
fir
Charles , avec
madam.e Oldham
&
fes fils. I1 n'a pas man–
qué d'encourager la mere
&
les enfants, avec
autant de bonté que de nobleffe. Il a pourvu
a
leur éducation. Il leur a promis que fes
foins , pour leur fortune , répondroient
a
leur conduite;
&
pour leur ·donner un morif
préfent d'émulation, il a recommandé au
<loél:eur Barlet de veiller fur leurs progres.
La lettre fuivante , qui eíl: du lendemain
1
effre une autre fcene.
LE T T RE LX.
Londres, Mercredi,
s
Avril,
.CE
matin, des fix heures,
j'ai
rec;ti
la
viíite de mifs Jervins,
fon
impariente, m'a–
t-elle dit , de me ·communiquer dé char–
mantes nouvelles. Elle m'a trouvée, la
plume
a
la main, dans mon cabinet. De
toute la nuit je n'avois pu fermer les yeux.
J'ai
vH
ma mere, a commencé cette chere
fille,
&
je me crois daps fes.bonnes graces.
P ourqnoi ne croiroís-je pas, Mademoifelk,
que j'y ai toujours été?
Chere mifs, lui ai-je répondu en
la
fei:ran'