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de ma vie elle ne
fe
r'ouvrira pour vout;
Quandmes cendres foront melées aveccelles
de votre mere, vous y rentrerez alors, pour
les fouler toutes deux aux pieds.
Mifs Charl.
(
A
vec un melange de
fan·
glots
&
de !armes. ) Moníieur ,
ie
demando
. pardon au ciel
<X
a
vous. En invoquant
lll~
mere, ;en'ai paseul'intention de vous oífen·
fer.
Je 1.'ai regrettée pour vous, Moníieur;
autant que pour pJa freur
&
pour moi.
Elle
auroit adouci...•
Sir
Th.
La dureté de mon
cceur ,
appa·
remment, Je
lis
dans vos penfées, Máde·
moifelle.
( Il
s'éloigna de quelques pas, en nous
lailfant
a
genoux pres
de
la chaife
c¡a'il
avoic
quitcée,
11
fo
promena dans la falle , avec
Jes imwques q'une vive agitatíon. Enfuire
1
ayant fonné,
il
s'approd1a
de la
porte ;
J
J?ouvr~c;
&
la
tenanr d
1
une main, il
fit
ap–
peller lafemme decharge. Elle entra. C'éroít
u·ne
femme de fort bo111 narurel , gui
[e
mir
~
tre¡:nbler de toute
fa
force , lorfqu'elle vit
fés
deux jeunes111;'1Itre!fes
a
geBOUX
).
~ir
-:,.
h,
l3eckford, aidez ces deux filies
ii
ralfembler tout ce qui leur appartiencici.
.Vous me tlo.nherez un mémoil'e d!f tour ce
qu'elies
'pre.nd1
1
0~1r, L'a~tori_ré
de leur pere
commet1ce
a
lenr erre
a
cbarge. Elles veu1ent
íéc.buer le joug:
Elles
oroienravoir paífél'age
d:e
la foumj.Hion
1
µ
ietlf
faµt
d~s hom11~i:s
'
ges
maris•
.Mifa
~aro/. No~
1
)3yckfordi
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