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pourrez
~
ma
chambre.
Mifs
Granditfon •
c-0ntinué.
Sir Tlz.
Vous ne vous marierez jamais ,
Ji
ce n'eíl:...• Et vous me faites cette déclara-·
cion ,_pour me prouver que vous n'eres point
une filie amoureufe
!
Quelle extravagance
!
Si vous n'aviez point été fort amouueufe ,
vous·ne vous"feriez ¡xis jetée dans une Gtua–
tion Qui vous infpire la hardieífe de me tenir
' ce di(cours. Effiontée
!
ºperite folle
l
Retirez-
vous de devant mes_yeux.
.
(Elle
fe
leva; inais elle fut retenue par les
mains ).
Sir Th.
Et vous m'ofez faire w1e déclara–
tion de cette
n~ture
!
Quelle efl: done, s'il
vous pla1t, l'autorité qui me refre ici
?
Ce–
pendant,
&
vous
&
milord
L...
comme vous
le prétendiez
a
ce rpoment, vous ne vous
eres engagés qae dans un amour.condition–
nel , que vous faites dépendre de mon ap–
probation? Malédiétion fur votre fexe
!
Tel
il a toujours été ,
&
tel il fera tonjours. Le
dieu a'Veugle vous fait partir for une mon–
tm:e paiúble. 11 vous fait foivre un chemin
qui n'offi:e
a
votre creur que de la fUreté
&
de l'agrément. Vous marchez d'un pas gai
&
triompham, jufqu'i ce que la tste vous
tourne :alors vous galopez par deífus les haies
&
1es foffés ,
&
vous franchiífez taus les re–
ttanchements ;
&
le devoir , la décer¡ce ,
la
difcrétion , font foulés aux pieds.
( Chere mifs Caroline
!
n 'ai-je pu m'em–
pécher q'iuterrompi;e ici • je m'.at_tendois
a
"erre