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s
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N.
4-'
cette cruelle atcaque. ,Je la pretfento-is aoili •
m'a-c-el1e i;épondH,
&
c'eíl: ce
qu.i
m'avoit
cmpeché de dédarer plutotla préfere.nce que–
je donnois
a
milord
L..•
f
ur
tous les hom–
mes:
quoiqu'ét-ani: sl'ire !ie
[on
J:nérite , mon
c~ur
m'y portar
fans
fcrupule. Mais
húífons
finir ma
La:ur. )
$ir
Tk,
Sortez, vous
Ais-je ,
de rna pré–
fe~
ce ( qU0iqtúl conrlnua• de la tenir par
les
mai.ns).
Et cette perite
co~ui.n.e
( .en fe
t0
urnantvers la pauvre Cbadotte gui vous
parle), je
1:i'ai.
pai>cetTé d'obferver tes yeux,
&
le
jeu
de tous les perits mufcles effrontés
dit
fon
vifage. Elle pr.end pare
a
vos ridi.cules
peines. Vous
en
retTentez de vives, je
me
J'imagjne. Vous me ceg'l-q:lez toutes deux
comme votre ryran. Vous fouhaiceriez que
je
fu([~
bien loüi • pour avoir la
li.beur~
de
vous abandonner e11fernble
a
vos i.ndifcretes
réflexions.
J'
en ferai le fujec. Tour le refien–
time.Jllt que vous vous iefforc
e:z de cachere ,
.i-1e
manq~ra
point d'éclater
libreme1n.Jene
ferai. ¡:>as
plus refpe&é
cq1:1e
l'
inrérer de votre
fqlle pa,füon neie pennettra. Milord
L...
f
era
confulté
plmot qye moi ,
&
jouira de
la
con–
~aqce ~e
mes detE<
fill.!!s
conror,e leur pere.
Je
prév8is que dan.s ce mornent vous m'allez
r:egarder cpinme votre plu._s
momel
ennemi.
Mai&
je vo-us
r~·nonceraí
wuces deux pour
lpQll fa11g,
&
je
pennetltr~i
a
vbtre frere, la
jpie de.
ina
víe,
1'
eij.Jérance
d.e
mes jours plus
heureu¡¡:,
deve~ílefpro~l,rprememla
mer.
If
xo1>1s
r.((noirner¡¡.·
a~ili
.
.P.9Jt1:
f..~s
frem:s, ou
j.e
li:
Tome. IIL
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