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CHEV. GR.A
KD
ns
oN: 4-JRegardez-moi, Caroline. ( Avec de
nouveal.UIédats de rire ).
_
Mifs-Carol.
En vérité , Monfieur ,
íi
vous
o'ériez pas mon pere....
Sir Th.
Bonté du ciel
!
Eh
!
qu'arrive–
rcit-il
?
Mifs
Carol.Jedirois, Moníieur, que vous
me trai
tez fort cruellement.
.
Sir T!i.
'Eíl:-cela ce que vous diriez, páuvre
cr.éatw:e
!
a
rout autre homme, n'eíl:-ce pas?
clans les
~ne¡.ues
circonftances
?
Fort bien ;
mais en atrendant , vous ne medites pas
íi
vous vous accommoderez d'un autre ho1n1ne
que votre Ecoílois. ( Lui tenant t0ujours les
mains ).
Mifs Carol.
Je
fuis
trait~
avec une rigueut
extréme. En vérité,
Moniieur ,
vous ne me
faires pas- éprouver votre bonté.
J'
ofe vous
dire que je n.e fuis poinr une a;noureuCe
créarure , comme il vous plrut de ¡µe le re–
procher. Je n'ai point d'impatience d'etre
mariée. J'attendra
i vosordres, le temps
qui
vous
conv~endra;
mq.iscomme il me
fembl~
qu'il n'y a point
d'objeébon
a
faire contre
milord
L..,...
je n'ai aucun défir d'etre menée
au n1arché de Landre>.
Sir Tk.
(
Gravement.)
Si
je
fois
difpofé
a
vous railler , Caroline ,
fi
je prends le parti
de tourner en badinage un empreffemenrque
;e
n'attendois pas de mes filles,
&
qui m'íl
fair
quelquefois méprifer celles d'autrui
~
quoique je ne leur en aie rien témoigné ,
je
ne foiiífrirai poi.m que
vous
me
faffiez
d'.ün-