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dre de vos volontés: lui-meme
11'
a pas
défiré
mon approbatio11 dans d'autres termes.
Si.- Th.
Ou
eíl: le bon fens dans eette
ré–
ponfe? avez-vous laílfé quelque chofe
a
mon
choix? Voyons, Cai;oline, Jaifons l'eífai de
mon l"o.uvoir.
J'"ai
de!Tein de vous concluir.e
a
la ville. Un jew1e homme· de qualicé m'a
fait des ouvertures en votre faveur. Ses pro–
pofitions me plaifei1t;
&
íe fuis sur qn'elles
' vous plairont
a
vous-m~me,
.G
vous: n'ave-z
pas le. creur pré.venu. Expliquez-vous.
Etes–
vous libre de vous rendre
a
ma recornman–
da~frm
? Vous ne me répondez pas. Votre
traité avec milord eíl: cond.itionnet, &tes–
vous : quoi ? Vous vcus tai:fez ? Vous-
awi
confondue? C'eíl: avec raifon,
fi
vous ne
-pouvez
pas
me faire la réponíe que je défire.
Si
vous le pouvez , pourquoi ne
la
faires–
vous pas? Je vous rei:iverfe, comm.e vous
le
yoyez , avec vos propres armes.
·
Mifs
Coro/,
Il ne me convient point ,
Monfieur, de difputer avec mon pere. Je
fuís ffue qu'il n'aríen manqué a mon refpett..
.Je ne le fuis pas moins de n'avoir pas
fait
·déshonneur
.a
ma famílie , en recevant les
propofitions conditio1111elles d·e milord
L..•.
Sir Tli.
Conditionnelles
!
folle que vous·
eres!
Ne font-elles pas abfolues, lorfqu'elles
nelaiífentrien amon choix? Mais
j'
ai tou1ours
~rouvé
qu'un homme, qui s'abailfe
a
rai–
lonner avec une femm
e , particuliérement
fui;
cenaim
poinu
o\i
la
na.tv~-a..plus
ck
part