J'g·
Hr'9~or'tlE
.Sir
Tli.
Eh bien
>
·ma
fille,
vous fa.vez mes
volontés.
Mifa earol.
Jejuge, Monfieur., .quevotre
intention
e8:
que je paife
ma, vie
dans
le.
célibaT.
Sir Tli.
Oh
r
oh
L
Eh
pomquoi,
Made–
Jtioifelle, portez-vous ce jugernent de
mes–
intenticns
?
Parlez ;.je vous
l'
ordonne.
.
Mifs Carol.
Parce qu'il' me
íemb'le, Mon–
f
em:
,.;Íi
vous
me
pennettez d:e
le
dire, que·
.la naiffauce
&
les
bonnes .qua:lit:és de .milord·
L...
ne laiífoientrien
a
défirer..Pardon,
Mon-·
'Úeur :· de gral::e pardo:i-:mez--.moi.
(En
levant
les mains aveG
un
mouvement paffionné: ).
Sir Tk.
Sa nailfance
!
je vous adtnire
!
Qu'efr-c1;7 do
ne qu'une pairie d'Ecoífe? V:ou9.
eres éblouie
apparemme.ntdu titre de com–
teífe; mais j
e vous apprends
queíi
vous avez
une véritaole efüme pour .milord
L_,,
-vous
ne devez pas fouhairer
q~e
dans.l'embarras
~u
il
eíl: pour
fes
foeurs ,
il
peníé
a
-v0us·
époufer•.
M1js
Carof..
Jevonsaífure,.Monfieur,,
q,ue
Je ritre 1:'efi rien pour moi fans un bon
caraél:ere,
A
l'égard des embarras, je necon–
nois
rien
dans rnoi-.melllJe qui fuit capable
d-e
faü-e
ocblier
a
.milord les re¡:,les de la
fffdence.
Sir Tli.
Je vois· qrre les diffil!llhés ne
Yit:.rdront
¡:.as
de
vorre
•}ilart.,
&
4pe vous
n'a
vez pas
d'i...
bjeél:ion
a
faire contre milori,
~il
1,/en
a .pcint.contre
vous.
V:o-us
~reSt:ne
fill.e.
rr.
~s-humb.le.&
fon monifiée..
11
faur·