$4
.
H
I
s
:r
o
I
n.
l!
en;barras, fur-t-OUt
a
fon retour.
Qui
VO'US
ordo1me de fortir, luí dit-il? oil allez-vous,
C<U"oline_? Revenez
~
Charlotte. Mais voila
ce qci arrive toujours; la. compagnie d'un
pere devient
a
cbarge) lorfqu'on s'efr mis
.l'
arnour. dans
la:
rete. Charmant morif po\!r
approuver une paflion qui ne
lui laiífeqoe le
íe"cond- ou le u:.oiíi
eme rang
da.nsl'affeétion
de [es filies aprt:·s y
ave.irte
nu lapremiere
.place! Vous verrez
que jeferai
forr
heureux,
a
Ja
fin)
íi
mes enfanrs ne. me regarO..::nt pas
conu11e leur ennerni. Revenez routes deux,
vous dis-je•.
Nous nous étions arrétées, lorfqu'il avoit
Gomme11cé.
a
parle1-.
11
faJlut
retourner for
nos. pas a:vec autant d'e1nbarras que nous en
avions
eu
a
partir.
Aífeyez-vous, nousdic-il•.
. Nous-demem:ames
dev.a.ntlui, les bras croifés
eomme deux.folle
s. Aífeyez-vous, quand je
vous l'ordonne, répéta-t-il. Vous eces
tomes
GCUX
e:imemementhumbles.J_'ai
a
VOUSP,arler••
. Les
deux folles
fe
remiren-t
for
leurs chaifesh
Mifs Charlotte m'a dir ici qu'elle ne pou–
v0it conrinuer cetre patrie de fa·narration ,,
fans la mercre en dialogue; & que·pour me
faire
aonno1tre les inrerlocureurs, elle
pren-:–
droir le ton de chacun, c'eíl:--a-clire,
un ton.
humble pour
fa
fu:ur, un ron moins ra.douci
pour elle-méme,& le
ron
impérieux pour
fon
pere. C'eíl: ce qu'elle a·fuit-d'une maniere forn
¡plaifanre.Mais,pour fuP,pléer
a
cette variété,.
je mectrai
le nom de chacun
a
la
tete.
<.le.
,e:
-qu'e:lle lui
fai.t
dU:e•.