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HrsTet'.I(~
preífé : Mefdemoifelles, Mefdemoife1les;
yorre papavous demande. Et nous, malgréla
foible!fe del'une
&
la répugmurce de l'aurré,
·no
l~
rerrouvaJnes l'ufage de nos jambes.,
&
JJOUS
enrrames dans
la
falle , fous les yeu'X
de norre pere, ma freur toujours appnyée fur
mon bras.
Le premieraccueil futd'unhomme
étonn~.
Que diable fignifie
ce
fpeébtcle? Quels mou–
•vements de rra:gédie? Que11e 'lnai;che
córrt–
·pofée? Les femmes font narm·ellemenr'comé–
diennes; mais
il
efr trop tard , Caroline.
La
piece efr linie.
ee role eíl:
de trop.
Modieur
!
dir ma freur avec un fanglor,
en levant les deux mains,
&
les joignant
d'uo airpitoyable!Je pleurai pour elle
&
pour
moi-meme,
fi
mifs
Dyro11
le veu¡, dans
un
cas
I
lus éloigué.
1
reprit : e'eíl: done vous , Caroline ,
qui
-
.
~tés
chargée du prologue. Jejuge que Char–
lone
a
fon role prer auffi.
I1
eíl: temps que
certe farce finitfe. Prenez toures deux vos
places;
&
croyez-moi , ceffez de faire les
folles.
L'avis éroir admirable, lorfqu'il nousren–
doit
~e
qu'i!
nous reprochoir d'erre. Cepen–
dant les dome,íl:iques enrrant avec
le
d1ner,
nous toufsal:11es , nous effuyanies nos yeux ,
¡1ous jerames l'une vers l'aun·e quelques
regards
a
la dérobée ,
&
nous nous afsímes
a
table. Nous primes nos cuillers
&
nos
fourcherres. Nous les rem1mes
a
leur place.
Nous les reprimes, lor(qu'il levoit
les Y;-ui'