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56

H

I

s

'I'

e r

Jl

1!

•uuquels

.il

ne f>Oatroit rien oppofer ,

fhafa

dont

il

a l'adreífe d'éludel.' l'exécution.

Mí]s

Cllról.

Je

fuis

votré

filfe,

Monfteur.

Tout

e-fl:

refpeáable de

fo

patt d'nn pere.

Mais

'70US D

áu.tez

rie11

a

me reprocher : je

n'aurai

pointd'ernprelfemetn;

&

je vous pro–

¡r.ets

a

genoux, de n'etre jamais

a

milord

L..•

fansvcrr~<:onfentement.

Ce queje vous

de–

mande uniqttetnent, Moníieur, c'efl de ne

tne propo(er

ja~nais

d'antre homme.

·

Sir Th.

(Un peu talertti ). Je vous ptends

a:n

mot, Mademoifelle. Mais fexige en

me-

' ine

tetnps

que vous n'ayez aucune corref–

fondance avec luí; que vous ne vous voyiez

11<:"

ne vous écriviez point. En un mor , vous

<onnoifíez mes intentions :

&

pour la der-

1!liere fois , indépendamment de toutes vo!

téponfos, je veux del'obéiífance. Beckford,

-vou.s pouvez vous retirer. Levez-vous, Car

íoline.

Mifl Caro!.

(

Avec un tranfport de joíe }.

Ah ,

fuis-je pardon11ée , Monfieur

?

Faites

done grace

auiTi

ama freur.

Sir Tñ.

Charlotte, prófitez de cette fcene;

fur-rout , pour vous bien garder de route

efpece d'engagement dont votre pere ne

foit pas informé. J'en charge férieu{ement

votre mémoire. Caroline s'efl: attiré quelques

chagrins, par ceux qu'elle m'a ,caufés. Rien

n'

efl: íi juíle. Que

fon

exemple foit une le<;on

pour

VOUS!

Mad. Beckford ét:mt

forne,

il ranima un

peu les deux

Ú:el.U"~>

par un fow·ll-e aífez.

obli·