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H
I
s
'I'
e r
Jl
1!
•uuquels
.il
ne f>Oatroit rien oppofer ,
fhafa
dont
il
a l'adreífe d'éludel.' l'exécution.
Mí]s
Cllról.
Je
fuis
votré
filfe,
Monfteur.
Tout
e-fl:
refpeáable de
fo
patt d'nn pere.
Mais
'70US D
áu.tez
rie11
a
me reprocher : je
n'aurai
pointd'ernprelfemetn;
&
je vous pro–
¡r.ets
a
genoux, de n'etre jamais
a
milord
L..•
fansvcrr~<:onfentement.
Ce queje vous
de–
mande uniqttetnent, Moníieur, c'efl de ne
tne propo(er
ja~nais
d'antre homme.
·
Sir Th.
(Un peu talertti ). Je vous ptends
a:n
mot, Mademoifelle. Mais fexige en
me-
' ine
tetnps
que vous n'ayez aucune corref–
fondance avec luí; que vous ne vous voyiez
11<:"
ne vous écriviez point. En un mor , vous
<onnoifíez mes intentions :
&
pour la der-
1!liere fois , indépendamment de toutes vo!
téponfos, je veux del'obéiífance. Beckford,
-vou.s pouvez vous retirer. Levez-vous, Car
íoline.
Mifl Caro!.
(
Avec un tranfport de joíe }.
Ah ,
fuis-je pardon11ée , Monfieur
?
Faites
done grace
auiTi
ama freur.
Sir Tñ.
Charlotte, prófitez de cette fcene;
fur-rout , pour vous bien garder de route
efpece d'engagement dont votre pere ne
foit pas informé. J'en charge férieu{ement
votre mémoire. Caroline s'efl: attiré quelques
chagrins, par ceux qu'elle m'a ,caufés. Rien
n'
efl: íi juíle. Que
fon
exemple foit une le<;on
pour
VOUS!
Mad. Beckford ét:mt
forne,
il ranima un
peu les deux
Ú:el.U"~>
par un fow·ll-e aífez.
obli·