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'auroit jetée dans une exceffive frayeur; &
Milord a res:u auili des remerdments de
Ja.
t~ndreífequ'il
a marquée dans cette occaúon
pour
fa
pupille.
On lui
a
donné
Ia
lettre que madame
Jer–
yins avoit laiífée pour
fa
fille.
I1
l'
a
préfentée
a
mifs Emilie, fans la lire. Mais elle la lui
a
rendue auffitot, avec tanr de grace ,
que
ne
pouvant refufer de la prendre, il lui
a
dit qu'ils la liroient done enfemble. Cette
lettre
a
donné occaúon au doéteur de
lui
a_pprendre qu'il nous avoit communiqué
plu-
1ieurs endroits des úennes.
J'
approuve,
fans:
doute, a-t-il répondu, tour ce que le doc–
teur a fait; mais que penfent mes
freurs
des:
...conditions que
j'
ai mifes
a
la correfpond:mce:
qu'elles déúreut
?
Miladi a déclaré narurel–
lement qu'etle feroit charmée
de
voir tour
cequ'il écrivoit au doéteur; mais qu'elle ne
pouvoit s•engager
a
rendre lettre pour
leme~
Pourqúoi done, a-t-il demandé
?
Mifs
Char–
lotte s'efr hatée de répond1·e, que la leéture
des lettres de mifs Byron leur avoit óré le
courage d'écrire. J'ambitionne beaucoup.
a-t-il répliqué, d'obtenir w1e faveur qui
n'a
pas éré refufée
a
milord
L...
De deux freres ..
Mademoifelle, a-t-il ajouté en
fe
tournant
vers moi, exclurez-vous l'un d'une con.6ance
que
vous avec eue pour l'autre
i
Des freres, Lucie
!
Je ne l'ai pas trouvé
fi
aimable dans ce moment, que lorfqu'il
eft
m:rivé.
Cepend.1nt je Cuis demeurée dans
qu~lque.