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s
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I
1t
J!!
faire
!
Eh
!
malheureufement elles Cont plus–
l\IOrtifianres.N'en faifonsqu' uneaujourd'hui,
<.:'eíl: que
fi.
fu:
Charles m offi-oit volontaire–
ment fa1µ ain,je ne fais íijedevroisl'accepter.
Croyez-vous·que íi j'étois
a
lui, je ne vécuífe
pas dans lacrainte continuelle
d~en
erre fépa–
rée, n e fúr-ce que par le coupinévitable qui
rnenace tous les enfants des hommes? Et quel
tourment qu'une telle vie
!
N.
(Les lettres, qu'onfupprime, contiennen•
tout ce que fir Charles a fizit pour déliner mi–
lord W
..
fon ancle, d'une vieille mattreffe qui
le tyrannifoit,
&
le rlcit d'une vijite qu'il
a
re;uede la mere d'Emilie, accompagnle defes
Jeux braves. Dans l'affizire qui regarde foil
on,ze, ilfe conduit en ejfet avec u11e nohleffe
admirable Ses difcours répondent afa conduite.
Jl
pnrvient 'par dr.lflrentes feenes
a
renvoyer
mndame Gijfard,
ajfez..
contente d'une bonna
Fenflo11 qu'il lui fait accorder. Le carac1ere de
.
eette femme' qui ejl tout a la fois hautaine
&
fort intlre.lfée;,
&
ce/ui de milord W ••. qui
eft
dlgoúté d'un long
&
fdcheux commerce, mais.
#JUi
ejl foib/e
&>
lil par une forte /labitude de
oomplatfance
&
d'efclavage 'donnentlieu
a
du
incidentsfortbi:{_arres.SirC/zarlespropofeenfuito
un mariage afon oncle' pour reodrefa 11ie lga–
lement douce
&
lzonntte, Ilfe cl1arge de trouver
unefemme qui lui convienne;
&
milord
W .....
.
~ltarmé
de lagénérofitld'un neveu, qui, éttrntfort
ñlritiernaturel facrifiepnrconflt¡uenrfospropres
.indrérsd fonbcn!íeur
~-5'
abandonne entilre.ment
a