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dont le fücccs ne me devint auffi cher qu'3:

vous-meme. Je l'ai preífée contre mon fein,

tandis qu'elle continuoit de me

f

errer de fes

deux bras.

Je vous fatigue peut-€tre, reprit-elle. Poui•

le monde entier, je ne voudrois pas caufer

la

moindre ·peine ama jeune maman. Permet–

tez qu'a !'avenir je vous donne ce nom.

Maman, comme on me l'a expliqué, eft

Jlll

nom plus rendre que celui meme de mere.

l.'infortunée Mad. J ervins, ou Mad.

Ohara,

fi

cette qualité lui fait plaifü , ne fera

que mere.

Un

enfant ne doit pas renoncer

la íienne , quoiqu'elle renonce elle-meme,

ou qu'elle faífe pis que de renoncer

foi¡

enfanr.

JI

eíl: remps que je me retire, Emilie.

Dites-donc,

mon Emilie.

Mon Emilie , ma rres-<;here Emilie

!

Vous

m 'avez guérie del'env

ie

de<lormir pourtoute

cette nu

ir.

O

!

je

fo.is

done ffichée....

Non, ne le foyez de rien. Vous m'avez

taufé quelque peine, il eíl: vrai ; mais c'efl:

la

plus douce peine qui foirjamais enrréedans

µn cceur. J'admire tant de honré, tant d'in–

nocence, des íentiments íi généreux

!

C'efl:

un bonheur pour moi, de connoitre

w1

creur

tel que le vórre.

Que vous augmentez mon raviífement

!

'( '&

fes bras recommencerent a me ferrer ).

lyiais pourquoi vous retirer

fa:ot

?