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7~

H

r s

T

o r

p_

'!

<le voir mon tuteur , lorfqu'il ve

noit

chez

Mad. Lane , je ne

111e

fouviens pas

lil.ue

mes

agitations aient jamais été

fi

violentes que

les dernieres. Au11i, j'en fuis furprife

moi~

meme. Ne pourriez-vous pas m'en dire

la

caufe?

N'eres-vous pas pénétrée , chere Lucie ,'

ele tendreffe

&

de pitié pour cene aimable

fille

?

Ma chere Emilie , ne doutez pas que ce

ne foienr des fymptomes....

De quoi , Mademoifelle

? (

en

m'inter~

rompant ). Dires-le moi fmcérement , je ne

vous cacherai pas une feule penfée de mon

ccrur.

Oui ,

íi

je vous encourage, ma chere.

Dites done mademoifelle

!

Ves fympromes d'amour, je n'en doute

point,

&

d'un amour capable de troubler

~orre

repos.•..

Non, (en m'interrompant encore) non;

Mademoifelle,

il

eft

impoiiible.

Si

c'étoir ce

que vous penfez, Mademoifelle , je n'aurois

plus la bardieffe de paroitre devant vous. Le

ciel m'eíl: témoin que c'eíl: vous, vous feule,

q}1~

je ,voudroi.s voir miladi Grandiífon.

Je.

.n

a1 qu une cramte....

Eh , quelle crainte

?

Que l'am¡rié de mon tuteur ne diminue

pour moi , lorfqu'il fera marié.

Craignez-vous que

fa

femme ne s'éfforce

de r-eíferrer un cc:rur auffi vaíl:e que le

fie~?

Non

>

fi

cerre fe¡nme étoit vous. M:us,

Mademoífelle,