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elle n'en avoit point. Quel meilleur parti
voyez-vous pour elle , que de la laiíter vi–
" vre avec noas
?
Je ferai
fu
prote&rice
,
., fon amie,
fa
maman. Oui, Mademoifelle,
" (en s'interrompant) permettez que je me
choííiífe unemaman.. Ne laiífez point une
.,
malheur.eu.Cefille
fans mere,
{¡
vous pou-
vez lui en donner
une.Jefoisfure que
toute
,, mon étude Cera d
e voµsdonner du pla.ifir,
" .& que jamais je ne vous cauferai de peine.
,, Vous i:lirez done
a
!ir
Charles, j'infille
la-
,, deífus, M. GraJ1diifon. Nous ferons
le
'
,, honheur de cette yauvre orpheline.
On
lui a parlé des arrjijces des ho1umes , pom:
fuire ro¡nber les.richeshéririeres d:ms leurs
.,. Eieges. Cette craime
~
celle
qui
regarde
fa
rnere, la
fonr
trembler continuellement.
"
Ellef~.roit
tranquille avec nous "· Chere,
chere mifs
Byron?
vous ~te$
touchée en ma
fuveur.... (
Qui
ne l
'au.ro,it point éré de
fes
rendrelfes enfanrüw
s?Ellejerafes brasautour
de moi ). Je vois que vous eres rouchée....•
Je ferai gloire d'erre
a
vorre fuite. Je ferai
-worre femme-de-.champre, s'il
Je
faur. ·J'ai–
derai
a
vous pa¡:er )
&
a
vous ren
dre cha–
que jour plus aimable
au~
yeux d.e
rn.onru–
reur.
Je ne puis foutenir toures cés idées. C'ell:
affez ; e'eíl: aíTuz , mon aimable , ma tel'ldre
&
généreufe Emilie
!
Si mon
forr
devenoit
re!
que vous le diq:s , vous t1e me dbnande–
i:iez ríen que mon creur ne fi.!t roujours pret
a
vous
accorder; vous
n';múe+
pas
un déíir
.
'
p:.
.