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Luudi , :io de Man.
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l'infatigable bonté de
fir
Charles Grandi!fon me jete , chere Lucie ,
dans un éronnement que je ne puis exprimer.
Je vous envoie deux nouvelles lettres que le
bon qoél:eur Barlet nous ncommuniquées ,
&
qui contiennentle récit de ceque
fir
Charles
a fait pour fon onde. 11 vie1\t de lui rendre
un [ervice de pere. Connoilfez-vous rien de
plus étrange
?
Mais il efi: né pour obliger
tout le monde. Le dolteur nous a dit qu'ayanr
obtenu de lui ,_depuis que mifs Grandilfon a
paru le déíirer , la
1
i
berte de nous faire voir
quelques endroits de fes lettres,
il
n'en pou–
voir faire un meilleur ufoge que pour nous
lire les deux dernieres, parcequ'ellesregar–
denrproprement une affiiire defamílle. Apres
nous les avoir lues ,
il
eíl:
palfé
daos fon
cabinet, ot! je l'ai fuivi,
&
j'ai obrenu la
permiílion de les tranfcrire pour vous. Je ne
pouvois voµs donner une juíl:e idée de
fa
prudence , de la générofiré , de
b
jufiice
&
du défintéreffement qui regnenr dans ces ler–
tres, fans les tranfcrire entiérement. Mais
Lucic, que je trouved'autres obfervations
a
D~