nu Ce-i;v.
Gn.AN"FHssoN.
rS:,.;
pr0uvofr.encore moins._quelques-uns de mes
termes ;
&
1'
air de fon vifage fembloit
!llar:...
quer de la difpoíition as'expliquer avec plus
de fierté qu'il ne co!1V'enoit au
fu
jet
de '
110-
tr~
entrey,ue. Je
llli,
dis: mon
d~ífein,
caJ:?i–
tame.,
:n
eíl: pas d entrer en d1fcuffion for
.les terñles.,JLorfque je vous ai protefré que
j'
apportois ici des intentim1s paiftb-les ,. vous
avez. du m'en croire. lJe ne
1~
enfe point
i
vous offenfer. Mais parlons en ge.ns fenfés.
Quoiqne je fois le·plus jeune ici,
fai vu
le
i.nonde ·autant que perfonne de mon age ;
je
fais ce qui eft du au carad:ere d'un
hom~
me d'honneur,
&
je ne m'arte
nds po.int
a
efes interprétations qui bleffent m.es fenti–
ments~
Mon imention ,
M@nf.ieur, repondit
1'e
capitaine, n'eft que de vous faire connoirre
que je ne veux pas etre traité avec unépris.
Non ; pas meme par le fuere
de
mifs Gran–
&ífon.
L©·frere de
m.ifS
Grandi!fun , répliquai-je,
n'efr point acco.mtmné a prendre un ton mé–
prifanr. Commencez par vous refpeél:er
vous-m~me'
& .
vous n'aurez poü1t
a
vous
plaiudre que je mette aucun devoir en ou–
blí. Chacun eíl: le maitre d'établir avec moi
le caraél:ere qu'il lui plrura. Ma oharité
a
beaucoup d'étendue, qm;iiqu''elle n'aillepoim
_ jufqu'a la crédulité.,
& je ne 1,efufe jamarn
de
m'en rapporter ala
deciG.on
Qun
tiers fur
la
jut:ri.cede ma. c.ondl:l'ite iS(;-de mes inten- .
ti
ons..