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,, d'aucune confidération pour moi ,
& quo.
,, j'
acce_pcerois pour frere celui qu'elle choi–
º'
firoit poiu· n1arí "·
Les deux amis applaudirent fans mefure
~
une conduire qui ne mérüe qu'w1e approba.–
rion conunune.
«
Elle m'a protefré folemnellement, ai-je
., continué, qu'en fe reconnoiífanr liée
par
,, une promeífe, que l'imprudence de ion
age
.>
[es peines domeiliques ,
&
de pref–
fant;es follicirations -avoienc rirée
de
fa
main, elle étoit réfolue,
íi
l'on infúloit
,, for
1'
exécurion , de la remplir par un cé–
Lbac perpétuel. Ainíi. vous voyez-; Mo11-
fieur, qu
il
dépend de vous de condamner
,, Charlótte Grandiifon
a
vivre fille , juí–
qu'a ce qu'il vous prenne envíe d'épouíer
,, une autre femme ; pouvoir, fouffrez cene
réflexion , qu'il ne fe.reir pas glorieux
d'exercer ; ou de luí rendre généreuíc–
menr la meme liberté qu'elle vous-a laií–
[ée.
Vous, Mellieurs,
fi
c'efr la qualitéde
" juges que vous fouhaitez de prendre entre
,, nous, plucot que celle de partis, j'aban–
,, donne cette affaire a vos coníidérations'
,, &
je vais me retirer pour quelques
roo–
,, menes"·
Je les quittai' , lor[gu'ils
[e
difpofoie1~r
taus
a
parler,
&
je paífai dans la- falle publi–
que du café. J'y crouvai le colonel
Marter?
<JUe
f
ai connu dans mes voyages,
&:
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cherchoic le major Dillon. Ma
f
urpriíe
fu~
extrci;ne de recevoir un complimenr de lui