204 / 392
.,
9...
H
I
s
'%'
o
I R E
qu'a moi-méme. J'efpere
>
a préfent,
.qu'
ma fceur n.e fera point la-deífus d'autre quef–
tion.
A la priere .du c_apitaine , je donnai
un
µiodele , pour la forme que je fouhaitois
dans le pouvel écrit. On pria
M.
Maner
d~
1'enu:er,
&
chacun promit d'en(evelir dans
le filence J:out
.ce
qu il favoit de cette étrange
flVenrure,
11
pe faut pas,
JTIª
chere {reur, que
ces
pr_écautions vous offeníent. Cambien de jeu·
i1es perfonnes ,
~u:xquelles
il ne inanquoit
Jien du coté de la i1ailfance
&
de l'efprir,
fe
font laiífées entráíner beaucoup plus loin?
Avec de grandes qualirés, car
¡':ii
une
fort
haute opinion de ma Charlotte, on ne rombe
pas ordinairemen·r <:lans cj.e perites
faures.
L:¡
plupart
d~s
femmes
>
qui commencent
a
fe
Jier avec notre fexe,
íe
flattent de pouvoir
s'arreter, lorfqu'elles en auront la vo)onré,
Elles s'abufent. Nous,
&
l'efprir noir qui
nous mee en
a~on,
auquel fouvent on d01me
p-lal-a-propos le nom d'amour, nous réulli–
,:ons pi:efq_ue toujours a vous en empecher,
L~s
deux {exes font
l'
office de démons l'un
pour l'autr{:!,
I.!s
11'ont p·as befoin d'aurres
f(!ntareurs,
Tout doit erre terminé avant la fin d11
jom ,
&
VQtre promeffe [era remife enrre
'mes
mains, J'en félicite ma fcrur Elle
elt
~ pr~fent
ma1n•(!ífe d'ell.e"-meme,
&
Íibredans
fpn ph
oi'X.Apr~s
avoir heureufement fervi
~
la,
fl
~ij.vf~r 4'u~ ¡ou~,
;e pf ine
par4ow