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1,1.

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dans quelle réfolution il avoit lailfé le

cotpi.:

taine? 11 s'étendit encare fur les memes iu–

jets, pour me dernander,

a

la fin ) s'il n'y

avoit aucune efpérance que mifs Grandif–

f

on.... Non, Monfi.eur, interrompis-je, ma

fceur eíl: une filie fenfée, qui joint

a

cer

avan·

tage d'autres qualitl s difiinguées. Elle a des

objeéhons infunnontables, qui fonr fondées

fur une plus parfaire connoilfance de

M.

Anderfon

&

de fon propre creur, qu'elle

n'a pu l'avoir dans un age moins avancé. Je

ne fois pas capable, Moníieur, de vous faite

un portrait défavanrageux de YOtre ami;

mais que je fache, s' il vous pla'it, quelles

fom

fes prérenrions. 11 parol.t d'une humeur

vive. Peut-étre ne Cuis-je pas plus difpofé

a

fouffrir. Evitons les d¿rnélés conrentieux;

&

qu'on ne dife jamais que M. Anderfon, qui

~fpéroit

quelque avanrage de fes liaifons

avec rna Lreur, ait re<¡u de moi

la

moindre

o~nk

·

'

Le co1onel Marter, qui n'étoit pas aífez

é1oigné pour n'avoir pas entendu quelques–

uns de ncs difcours

>

pria M. M;¡.ckenzie de

luí accorder un moment d'enrrerien,

&

j'é–

tois trop prb d'eux auffi , p¿ur me

défendr~

de prerer l'oreille. J'entendis M. Marrer ,qw

donnoit: carriere

a

fon amhié fur la répura·

tíon qu'il m'artribuoit dans les pays érran–

gers. 11 vanea ma bravoure , qui eíl: un ar–

ride de grand& poids dans le militaire

1

&

pour votr,e fexe. Enfin

jl

s'étendit avec

fi

¡>eu de modération for mes lotianges

, qu~

j

'éco.IS