nu
C1-nv.
GRANnt-s soN.
1·91
Jlétois pret
a
lui en faire des plaintes. lorf–
<:¡ue M. Mackenzie le
fit
paJier avec lui d:ms
le cabinet ou le major éroit encore avec·
M.
Anderfon. Je ·foppofe qu'.on !'.informa de
tout ce qui s'y éroit paífé. Un quarr d'heure
apres,
il
vint me prier, au nom des aurres.
de retournerau.cabinet;
&
me lai!Tant partir
feul,
il
demeura lui-meme dans la falle
pu–
blique.
Je fus res:u avec de grandes -marques .de
confidération. Quelques nouvelles difficulrés
me donnere..nt occa.fíon de. répérer une partie
de ce que j'avois dit en vorre faveur. Enfin
>
ron me
fit
deux propoíirions) en m 'a!f.uranc
que
[¡
je confenrois
a
l'une ou
a
l'autre) le
capitaine feroit profefücm r.oure
fa
vie ·d'un
exrreme attache,ment pour 111oi. Un n10uve–
ment de compailion m'en
fir
acLeprer une•
fans m'expliquer fm: les ra.1fons qui me don–
noient de l'.éloignement pour l'autre. Au
fond , je ne cr:us pas .devoir engager mon
c:;rédit, quand j'en aurois beaucoup plus, en
foveur d'un homme dont je ne connoiífois
pa~
m1eux le rnérite. Peut-etre ne m'auroit–
il pas éré difficile .de Je fervi·r, par milord
W.... ,
qui elt lié forr étroirement avec les
miniíb-es. WJ.ais je ne regarde point une vive
recommandation comme une démarche in–
différente, for-rour _pour les ernplois ot\ le
~ublic
eíl· intéreífé;
&
ma parole engagée.
lle me permerroit pas de m'employer foible–
ment. Je n: e dérerminai , par conféquenr.
pour Je {ervic..e done je n'érois
re.fponf;tbl~
Tome Ill.
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