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Je ne fai pas trouvé rnéprifable, du cbcé:
de l'efprit ni de la figure.
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peut etre peu.
lettré ; mais on ne fauroit dire qu'i1 foic
ignorant ni gr-0Jlier , quoique les miis de
Charlotte Gr
andiífon puiffent ne lepas trou–
ver digne de
ten.irla premiere place dans fon
Ga:ur.
A
pres avoir achevé fon rédt , qu'il efi
inurile de vous répéter ,
il
inftíl:á for votre
promeífe ;
&
fes deux amis
fe
déclarerent en
fa
faveur d'un air qui me parut un peu trop
cléciíif. Je ne aspas difliculcé de leur en er–
pliquer mon opinion ,
&
de leur dire qu'ils–
rne devoient la juíl:ice de me croire inltwit,
cornme eux, des loix de l'honneur.J'apporre
ici, Meffieurs, ajoutai-je, des inrentions droi·
•tes
&
paiíibles. L'exemple de la vivacicé ne
m'en inf2ire jamais au-dela des bornes;
mais
íi
vous efpérez de
l'em~orrer
avec moi
fui;
quelque point,. ce ne fera, ni par le
ron, m
par des apparences de chal'eur.
Leurs
yeu.'<
s'adoucirent tour d'un coup;
&
M. Dillon
m'aífura qu'ils n'avoient aucnn delfeiu done
je puiífe m'offenfer.
Je dis au capitaine que le mien n'écoic
pas d'enrrer dans un long détail pour
~:r
défenfe de ma fa:ur. J'avouai qu'elle av01t
marqué un peu.
de
précipitation dans
fa
conduice. Quelgnes chagrins , continuai-je
~
gu'elle,avoit eífoyés dans
fa
famille ,
&
qm
lii.i
en faifoienc redbuter d'autres,
fa
jeunelfe'
l'ig~orance
du monde,
y
ont beaucoup con–
ttibué. D'ailleurs,. les j_eunes
perfu1u1es
fe¡