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l
!
T
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1
R.
l!
qu'eUe a réfolu pour
fir
Charles? Puiffe-t-il
~tre
heureux dans routes les fuppoíitions
!
Mais, en vérité, diere Lucie ,.e'efl: un avan–
tage que votre Henr1etre ne co1mo'lt guer.c
a
préíent._
~ír
CHA..R
-r.ssGRANDISSoN,
J..Mifs
GB.ANDISS.ON,,
Vcudi'ccli, 17 de
Ma~
V
o u-s apprenárez avec plaiíii-, ma chere
Charlotte ,. que j'ai déja vu
M.
Anderfon.
Je iui avois fait ren&e votre lettre en
a.·
rivanr
a
Londres ;
&
fa
cha.Jeur ,
a
cette
leél:ure , s'étoir déclarée par quelques ter·
tnes. indifcrers
~
mais comme
f
érois réfolu
d"
avoir une_conférence paiiible avec lui,
j~
ne me fis pas reudre un compre exaél: de fes
expre.ffious.
Nous nous vimes
ñier
a
quarre
neure.s
'aptt:s midi,. dans le <;afé
du-Pall-Mall.
U
étoir acco
mpagné de meliieurs Macke.nzie
&
DiUon,
cfeux.defes amis, l"un Üeurenanr
coloneT,
&
f'autre mafor dU meme
r'égiment~
Je
n'avois pas l'nonneur de les connoirre.;
mais lorfi;ue je paffai avec
1vl.
Anderfo.n.
d'::m-s
ur e chnmhre particuliere
~
ils
y
encrr.
.ieut avec
no~
..