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Cntv.
GAANDXUo~.
I6'4J'
<'Mifs
Gn1nd.
De reproches, Henriette?
Mifs Byr.
C'efl: ce qui me femble. Je ne
vois pas quelaurrenom je puis leur donner.
Mifs Grand.
Quoi
!
Eíl:- ce
un
reproche do
TOUS
atrribuer de l'amour?
,
Mifs Byr.
Mais la maniere, Mademoi–
felle...
Mifs
Grand.
Ho
!
c'efl: done la m2.niere
qui
caufe vos plainres? Hé bien ( premnc
un
air grave & un ron plus doux) il n'en
fera pas moins vraí que votre creur efl: tou–
ché; maís par qui? C'eíl:la quefüon. A nous
quí fommes vos freurs, n'apprendrez-vous
poínt par qui
?
( Affurément , Mefdames , ai-je penfé •·
vous a.vez vous-memes quelque cho'fe
a
m'apprendre, qui vous paro1r un dédom–
magemenc pour cette infupporrable perfécu–
tion ;
&
ma fierté néanmoíns ne me faifoit
pas rrouver bon qu'elles attacba!fent rant
d'ímportance
a
ce qui m'íluroít parn du plus
haut prix,
íi
ie n'avoís rraité qu'avec
moa
propre creur ).
Miladi L...
(
Venant
a
moí,
&
me pre–
nant par la m:Ün ). Je vous dírai, chere
Henriette , que vous eres
la
plus infeníi.ble
de tomes les filies,
íi
vous éres fans amour.•..•
A
pré(enr, que me répondrez-vous ?
M1fs Byr.
Que peut-étre je ne connois
pas alfez certe paffion ' pour devoir erre
{i
peu ménagée,
(.Ici' s'ér.ant
aaifes
tontes deux
a
c8té
dJ
1.omc
111.
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