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CHl':V.GllANnrssoN: 1l-;
N'aimez-vous pas plus M. Orme qu'aucWl
des hommes que vous avez vus
?
Mifs Byr.
Je n'en conviens point.
Mrfs Grand.
Qui aimez·vous plus que
lui!
Mtfs Byr.
De grace , mi[s Charlotee....
Mifs Grand.
Et de grace , mi[s Hen-
riette...
Mifa Byr.
Reprenez les renes, Miladi, je
vous le deinande iníl:amment. Mi[s Grandif–
fon eíl: fans pitié, C<;!pendant elll! en trouv;\
beaucoup
·
Mifs Grant/,
Hier, n'eíl:-ce pas? Fort bien.
Mais vous ne me reprocherez p<ts d'avoir
Jnanqué d'ingénuité.
Mifs Byr.
Et croyez-vous que j'en
man–
que
?
Di
re~,
Miladi.
Miladi L...
Oui, je le crois.
(Elle m'a paru jouir un peu trop cmelle–
µient de mon
~mbarras
).
Mifs Grant/.
Et
~nifs
Byron. prétend qu'il
n'y a point un homme dans Norchampton–
Shire....
Mifs
Byr,
Je
ne comprends pas, Mefda–
mes ' quelles peuvent erre vos vues, mais
je
vous affure qu'il
n'y
en
a
pas un...
Mifs Grand.
Voyez , Miladi.
11
y
a des
queíl:ions auxquelles elle ne fe fait pas pref–
fer pour répondre.
(Je crois
q~1e
j'ai du paro!tre [érieufe.
Je
gardois le íilence.
J'~tois
piquée jufqu'atJ
fond de
l'a m~
). ,
MifsGrand.
Courage, Henriette. J'aime
a
V.PUS
voir
f~rt~ hum~ur,
N!,':
r~pondez
poinc