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plus regarder votre frere en face. Vous me
lllépriíerez auffi tomes deux. Je foissureque
vous me mépriferez.
( Elles m ont donné mille affurances de
!a
continuation de leur amirié ;
&
ce
fe~
(:ours éroit de faifon : car je me
f
entois
fort
émpe).
Mtfs Grand.
Nous avons eu C?e matip.
un
long enrretien avec
íi
Charles.
Mifs
Byr.
Sur
moi? ciel
!
j'efperc qu'il
n'a Fas
la moindre norion....
Miladi L ..•.•
On
a parle
de vom ;
mais ,
pour ne pas vous alarmer dav::mtage, nous
vous rendrons compre de ce
~ui
s'eíl: paffé.
MHadi
Annea fait le fujer de l entretien.
Mifs. Grand.
Nous avons demandé
a
mon
•-frere s'il penfoitau mariage. Cene quefiio"
venoit
a
propos.
Il
n'apoint faitderéponfe;
mais
il
lui
eíl: échappé un foupir ,
&
fon air efi
devenu fortgrave.
(Un
foupir
!
chere Lucie.
Quelle raifon
íir
Charles a-t-il de foupirer
? )
Nous lui avo11srépété notredemande. Vous
nous avez aifurées,
lui
ai-je
dit,
que voos
n'aviez aucune
~nrenrion
de reprendre Je
u-airé de mon pere.
Que
penfez-vous de
rniladi Anne
S ... : . .
il
eíl:
inutile de vous
repréfenter fon immenfe fortune
&
fa
naif–
fance. Sa figure e!l
fon
éloigné d'erre
dé~
{agréable ,
O(
tour le monde fait qu'elle
a
peaucoGp d'eftiine pour vous. Je rends juf–
tice,
~n'a
t-il répondu, au mérite de milad.i
.A
nne; mais je regrenerois beaucoup
qu'el~a
'S}µf
!i~s f~ruin~cnrs ~arti~qliers
pour
.rpo1,