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s

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o

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rt

1noi , chacune a pris une de mes mains tr.eRl–

blanres ).

Milddi

L ..._

Je

fuis

tentée , Charlotte,

·.ae reprendre les renes.Nousfommes cruelles.

Mais dites-nous, ma charmante freur, dices

en un mor

a

votr.e Caroline, dites

a-

votre

Chadotte, s'iln'ex.ifte pas dans le monde un

homme que vous aimez plus-que taus les

autres? Vous devez cette confidence

a

noure

amitié , fans laquelie , aífuréinent nous ne

vous ferions pas une guerre

G.

vive.

( Je demeurois en íilence. Je tenois lavuc

bailfée. J'étois dans un -acces de fievre qui

me faifoir palfer alrernativement du.froid au

chaud. Elles -0nt pouífé toutes deux leurs

careífes, jufqu'a preifer mes mains de leurs

levres;

&

je ne penfois point

a

les retirer ).

Mifs Grand.

Ouvrez la bouclie.Necraignez

point. Faites fonds fur norre parfaite amitié.

Jem'étois propofé de vous ouvrir le chemi.11,

en vous apprenant tous les fec:ers,

d~

1;ion

cx:eur avant que mon frere les eut penetres....

Mais on ne peut rien dérober

a

fa

pén&

tration....

Mifs

Byr.

(

D'un air fort alarmé). Mifs

Charlotte

!

Mefdames! Votrefreren'aurapas...

11

eíl: impoilible qu'il air...J emourroispluror...

·

Mifs. Grand.

Charmante délicare.íle! Non,

il n'a pas... mais pourquoi feroit-íl impoili–

ble qu'il eut... Chere Henriette,

fi

nos per–

fécutions vous fatiguent , mettez la réferve

a

pare... Croyez-vous que dans mille occa-