nu
CHEY.
GRANnrssoN.
r6;
Mifs Grand.
Et que fignifient, chere Hen–
riette , tous vos
que
,
que
,
&
cette foudaine
éinotion ?Donnez-moi ce mouchoir. Votre
embarras me fait pitié.
EH
em'a pris brufquement mon mouchoir.
Elle me l'a mis autour du cou. Mes mains
trembloient.
Mifs Grand.
Pourquoi cette palpitarion
?
Me répondrez-vous ? Ah
!
ah
!
chere
Mifs
>
vous ne voulez done pas vous fiera vos deux
fa:urs
!
Eh
!
croyei:.-vous , s'il vous pla!t ,
que nous ne vous euffions pas déja péné–
trée?
Mifs
Byr~
.P,énérrée
!
Que voulez-vous
dire? En vérit.é, chere mifs Grandiffon, je
ne connois perfonne qui ait le fecret d'alar–
mer comme vous.
Mifs Grand.
Oui? Vous me connoiffer:: fi
bien? Mais pour aller vite au fait... Remet–
tez-vous done, chere Henrietce; vous paroiG
fez tour émue.... Eíl:-il fi déshonorant, pour
une belle perfonne, d'erre vaincue par l'a–
mour?
Mifs Byr.
De qui parlez-vous
?
Moi , de
l'amour?
Mifs
Grand.
(
Eclarant de rire ). Vous
voyez , Miladi , que mifs Byron fe recon–
no!t dans la belle perfonne dont je parle.
Défavoµez a préfent , ma chere. Qui vous
empeche ? Dires-
nous desfables. Donnez
dans i'.atfeél:ation.
Affur.ez- nous que vous
n'etes pas une be
lle perfonne,
&
d'autrei
propos de cette force.